Avoir une vie sexuelle épanouie contribue largement au bonheur.

Une sexualité épanouie : Un pied de notre tabouret

Selon l’OMS, la santé mentale est un « état de bien-être qui permet à chacun de réaliser son potentiel, de faire face aux difficultés normales de la vie, de travailler avec succès et de manière productive, et d’être en mesure d’apporter une contribution à la communauté ».

La santé est un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité

Avoir une vie sexuelle épanouie contribue largement au bonheur.

Aujourd’hui les médecins sont tous d’accord pour reconnaitre l’importante d’une activité sexuelle quelle que soit la pathologie.

Avoir du désir et du plaisir stimule les endorphines (un anti-douleur puissant et naturel) et l’ocytocine pour les plus connues.

Cela a une influence très positive sur les relations qu’on entretien avec les autres, son travail. C’est en quelque sorte le meilleur antidépresseur, la pilule du bonheur accessible à la plupart d’entre nous.

Mais dans un monde de performance, de violence et ou tout va trop vite, ou les outils de communication toujours plus performant conduisent paradoxalement à un sentiment de solitude de plus en plus accru, les difficultés sexuelles s’accroissent et tout a chacun essaie de trouver des solutions à des symptômes notamment sexuels.

Malgré les progrès non négligeables de la médecine dans la prise en charge des troubles de la sexualité, force est de constater que nombreux sont les patients qui arrêtent leur traitement et se tournent vers les sexothérapeutes à la recherche d’alternatives pour tenter de retrouver une vie sexuelle épanouie.

Si la sexologie n’est toujours pas reconnue comme une spécialité médicale, il existe « une nosographie » lui donnant une vraie identité.

La sexothérapie nécessite une formation pluridisciplinaire d’au moins deux ans, ce qui malheureusement n’est plus le cas aujourd’hui, cela devient juste une compétence …ainsi de nombreux praticiens apportent des « recettes » une réponse aux symptômes sans prendre en compte son contexte d’apparition qui n’est pas toujours facile à identifier.

Évaluer le contexte qui a permis l’émergence du symptôme est déjà en soit une première piste de résolution.

L’information sur les mécanismes de la sexualité, avoir en tête que c’est un apprentissage et un langage dans une relation intime est nécessaire à la compréhension des troubles de la sexualité.

Enfin les recherches actuelles en neuroscience permettent de légitimer l’hypnothérapie comme la réponse thérapeutique la plus adaptée